Comment le présumé « espion des vedettes » s’y serait-il pris pour accéder aux données et aux images de ses cibles ? Pas grâce à de complexes manœuvres informatiques, mais plutôt par une patiente pêche aux informations…

Pour les policiers de l’unité de cybercriminalité de la Sûreté du Québec, témoins-experts au procès de Pascal Desgagnés, accusé de plusieurs crimes liés à l’utilisation frauduleuse d’un ordinateur, la preuve informatique est exactement comme une scène de crime. « On ne fait pas de tests de projection de sang, mais on teste des logiciels pour savoir où est la preuve », illustre le sergent-enquêteur Steve Berberi.

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