Le corps d’un homme découvert en mai dernier dans les eaux du fleuve Saint-Laurent, à Saint-Zotique, n’a toujours pas été identifié plus sept mois plus tard. La Sûreté du Québec (SQ) sollicite maintenant l’aide de la population afin d’y parvenir.

Dans un communiqué, l’Équipe intégrée de coordination des disparitions et des enlèvements du corps policier affirme « relancer le dossier » dans l’espoir d’obtenir toute information pertinente du public.

Le 2 mai dernier, le corps d’un homme avait été découvert par une femme de Saint-Zotique qui faisait l’entretien de son terrain sur la 72Avenue. Elle avait aperçu le corps d’un homme qui flottait près d’un quai avant d’alerter les services d’urgence.

Ces derniers étaient alors parvenus à récupérer le corps, celui d’un homme adulte dont le décès a été déclaré sur place. Le corps avait ensuite été transporté au Laboratoire de sciences judiciaires et de médecine légale pour être identifié et pour une autopsie.

PHOTO FOURNIE PAR LA SÛRETÉ DU QUÉBEC

Selon la sergente Valérie Beauchamp, porte-parole de la Sûreté du Québec, il n’y aurait pas d’élément criminel en cause. « À partir du moment où le corps va être identifié, il y a aura d’autres démarches qui seront effectuées, mais pour le moment, ça semblerait être une noyade », a-t-elle expliqué mardi.

Mais plus de sept mois plus tard et une première médiatisation du dossier, la SQ n’est toujours pas en mesure d’identifier le corps. Une « analyse anthropologique » réalisée dans les derniers mois suggère toutefois que l’homme « était d’origine caucasienne et âgé d’environ 30 ans ».

Selon la sergente Valérie Beauchamp, porte-parole de la Sûreté du Québec, il n’y aurait pas d’élément criminel en cause. « À partir du moment où le corps va être identifié, il y a aura d’autres démarches qui seront effectuées, mais pour le moment, ça semblerait être une noyade », a-t-elle expliqué mardi.

Au moment des faits, l’homme était vêtu d’un T-shirt bleu avec une feuille de cannabis et l’inscription « adipot » et d’un pantalon de jogging bleu.

Il portait aussi à ce moment une bague en or à la main droite, ainsi qu’un bracelet au poignet droit et une chaîne au cou. Enfin, il avait un tatouage au bras droit avec l’inscription du mot « Warrior » ainsi qu’une colombe et une fleur de lotus.

Toute personne détenant un renseignement utile en lien avec cette affaire est invitée à contacter la Centrale de l’information criminelle de la SQ, en composant le 1 800 659-4264. Vous pouvez également écrire un courriel au cic@surete.qc.ca