Si on commence à avoir une bonne idée de ce que serait le prix plafond de Facebook (le prix d'émission de 38$ peut-être?), il est beaucoup plus téméraire d'estimer le prix plancher.

Une industrie au potentiel énorme certes, mais dont qu'on ne sait pas encore mesurer en dollars. Des ratios stratosphériques, genre 85 fois ses profits courus des 12 derniers mois, sans commune mesure avec les titres comparables s'il s'en trouve. Pas de dividendes sur lesquels asseoir la valeur du titre. Rien à lire - pas de têtes ni d'épaules à trouver - pour les analystes techniques dans le dessin de la courbe boursière, saccadée, de FB en trois jours de négociation seulement. Pas évident...

Se qualifiant d'optimiste quant aux opportunités de l'entreprise, l'analyste Brian Wieser de la firme new-yorkaise Pivotal Research Group, était du côté des vendeurs affirmés bien avant l'émission. Il évalue le titre à tout au plus 30$. Le cours actuel suppose «l'accomplissement total», trouve-t-il.

> La suite sur le blogue de Paul Durivage