Un des plus importants actionnaires de BRP a profité du récent repli de l’action du fabricant de véhicules récréatifs de Valcourt pour bonifier son investissement dans cette entreprise.
La Caisse de dépôt et placement du Québec a débloqué des millions de dollars le mois dernier pour acheter des blocs d’actions additionnels de BRP.
Le titre de l’exploitant de la marque Ski-Doo a brièvement glissé sous la barre des 80 $ à Toronto au début du mois de décembre après que la direction de BRP a revu à la baisse certaines cibles financières à la fin de novembre devant le ralentissement de la demande dans le contexte économique actuel.
Le titre de BRP a depuis rebondi à plus de 90 $ pour commencer 2024.
La Caisse a notamment acheté 12 200 actions de BRP le 8 décembre avant d’acheter d’autres blocs d’actions au cours des séances subséquentes. La Caisse a ainsi acheté un total de 31 500 actions le mois dernier, indique un document déposé dans les derniers jours auprès des autorités réglementaires.
La Financière Banque Nationale considère Coveo comme un candidat de choix pour un acquéreur stratégique ou une firme privée d’investissement. Dans un rapport publié mardi pour faire le point sur le secteur des technologies en ce début d’année, l’analyste Richard Tse dit continuer d’apprécier le titre de l’entreprise de Québec spécialisée dans l’intelligence artificielle appliquée au commerce électronique et suggère d’acheter l’action de façon opportuniste, en particulier sur faiblesse du cours boursier.
Affirmant que les perspectives des marges de profit continuent de s’assombrir chez Quincaillerie Richelieu, la Financière Banque Nationale a retiré jeudi sa recommandation d’achat sur le titre du distributeur montréalais de produits de quincaillerie d’ameublement. L’analyste Zachary Evershed en est venu à cette décision après avoir pris connaissance de la performance financière de fin d’exercice dévoilée jeudi. Les résultats présentés ont raté la cible des analystes.
La Scotia a donné un vote de confiance à Saputo en milieu de semaine. L’analyste George Doumet recommande désormais l’achat de l’action du transformateur laitier montréalais. Cet expert dit apprécier le contexte actuel avec l’évaluation dépréciée alors que la visibilité entourant les bénéfices découlant des initiatives stratégiques s’est quelque peu améliorée. Cet expert reconnaît qu’il faudra peut-être un certain temps pour revenir à des niveaux d’évaluation historiques, mais juge que le marché n’attribue que peu ou pas de valeur aux efforts d’optimisation en cours.
Le fabricant montréalais de poteaux de téléphone et de traverses de chemin de fer Stella-Jones se retrouve sur la courte liste des six dark horses (terme qui pourrait être traduit par « gagnant surprise ») pour 2024 publiée mardi par la firme Acumen. Il s’agit de titres considérés comme ayant perdu la conviction des investisseurs ou qui demeurent dans l’ombre (sous le radar).
Acumen estime notamment que les objectifs financiers de Stella-Jones semblent très prudents alors que la demande pour les poteaux électriques devrait continuer à se faire sentir.
Outre Stella-Jones, les cinq autres noms sur la liste sont Andrew Peller, Enerflex, Information Services, Pollard Banknote et Source Energy Services. Le franchiseur montréalais MTY a fait partie de cette liste au cours des deux dernières années.
Neuf administrateurs chez Rogers Sugar (et Sucre Lantic) viennent d’acheter pour un total approximatif de 100 000 $ d’actions du producteur montréalais de sucre et de sirop d’érable. Les transactions d’achat ont toutes été effectuées le 9 janvier au prix unitaire de 5,46 $.
Les titres québécois de CGI, Stella-Jones, Haivision, Cascades, Stingray, Alimentation Couche-Tard et Dorel ont encore tous touché cette semaine un sommet des 52 dernières semaines à la Bourse de Toronto.
En revanche, celui de Vision Marine poursuit sa glissade et a atteint cette semaine un autre plancher des 52 dernières semaines au NASDAQ.