Aperçu des actualités de la semaine dans le monde de la techno.

Piratage

Le piratage d’entreprises a son concours international, le Collegiate Penetration Testing Competition (CPTC), qui met en compétition une centaine d’établissements scolaires dans le monde. Chaque équipe d’étudiants doit trouver les vulnérabilités d’une entreprise fictive. Pour la première fois, l’Université Concordia y a participait en novembre dernier ; c’est elle qui a hébergé le premier tour du concours pour la division canadienne. Et c’est l’université montréalaise qui a gagné et pourrait se rendre en finale mondiale, qui aura lieu aux États-Unis en janvier 2023. « Ces compétences sont semblables à celles attendues des pirates éthiques sur le marché du travail », explique la professeure Carol Fung, qui a supervisé l’équipe de Concordia.

Lisez l’article des Actualités de Concordia

The Closer

PHOTO FOURNIE PAR HEINEKEN

« The Closer » est un ouvre-bouteille Bluetooth lancé par Heineken qui met en veille l’ordinateur quand on ouvre une bouteille.

Un ouvre-bouteille « de haute technologie qui ferme les applications de travail lorsque l’utilisateur ouvre une bouteille »... Le courriel de Heineken était si intrigant que nous avons demandé à essayer ce gadget appelé « The Closer ». En fait, il s’agit d’un ouvre-bouteille Bluetooth qui s’active quand une pression suffisante est exercée sur ses dents. On peut alors le coupler à un ordinateur, qui se met en veille quand on ouvre une bouteille. Et ça fonctionne, disons, une fois sur deux. Plutôt amusant, mais la connexion Bluetooth est capricieuse. On comprend qu’il s’agit plus d’un clin d’œil publicitaire que d’un futur produit à succès. Il n’est d’ailleurs pas en vente, mais obtenu en échange d’un message sur le compte Instagram de Heineken.

Consultez le communiqué de Heineken

Netsuke

PHOTO FOURNIE PAR LE MBAM

Pour accompagner son exposition sur les netsuke, ces petits objets gravés, le Musée des beaux-arts de Montréal les a modélisés par photométrie pour pouvoir en scruter les détails.

Minuscules joyaux de l’art japonais populaire au XVIIe siècle, les netsuke sont en vedette au Musée des beaux-arts de Montréal, qui leur a consacré un impressionnant volet numérique. Très prisés par les collectionneurs, ces petits objets gravés parfois en ivoire qui servaient à accrocher des objets à la ceinture d’un kimono regorgent de détails souvent invisibles à l’œil nu. Les netsuke ont donc été modélisés par photométrie et peuvent être scrutés, au musée avec un téléphone intelligent ou à distance par ordinateur. On peut les tourner dans tous les sens, zoomer jusqu’à voir la moindre inscription tandis qu’une narratrice conte l’histoire de ces bouddhas, singes et autres sujets mythiques japonais.

Consultez le site de l’exposition virtuelle Les netsuke au bout des doigts