Ariane Moffatt, Festival SPASM, Festival du monde arabe... Les idées sont nombreuses pour sortir. Voici quelques suggestions de la part de nos journalistes.

Aimer la vie avec Ariane Moffatt

En tournée avec son spectacle Incarnat, l'autrice-compositrice-interprète Ariane Moffatt s'arrête à la salle Pauline-Julien, dans l'arrondissement de L'Île-Bizard–Sainte-Geneviève, le 28 octobre à 20 h. « En une heure de chansons caressantes comme la forêt de plumes roses qui se dressait derrière elle, Ariane Moffatt nous aura rappelé que la musique n’est pas la moindre des raisons d’aimer la vie », écrivait le journaliste Dominic Tardif le 12 juin.

Lisez l'article de notre journaliste Consultez le site de l'artiste

Plein de films d’horreur, en salle et en ligne

PHOTO JULIEN HELIE PHOTOGRAPHE, FOURNIE PAR LE FESTIVAL SPASM

Le théâtre Plaza

SPASM bat son plein et, à quelques jours de l’Halloween, la programmation est axée sur… l’horreur ! Le festival, qui en est à sa 21e édition, se consacre au cinéma de genre, principalement issu de la francophonie. Ce vendredi, à 19 h et à 22 h 45, la grande soirée de l’horreur aura lieu au théâtre Plaza, dans La Petite-Patrie. Des longs métrages seront aussi diffusés jusqu’au 31 octobre au cinéma Moderne, dans le Mile End. Vous préférez regarder les films dans le confort de votre foyer ? Encore cette année, SPASM offre sa programmation en ligne jusqu’au 31 octobre à 23 h 59.

Catherine Handfield, La Presse

Consultez la programmation du festival SPASM

À la rencontre du monde arabe

PHOTO FOURNIE PAR LE FESTIVAL DU MONDE ARABE

Lena Chamamyan prend part à la création Les possédés, présentée au Festival du monde arabe

Le Festival du monde arabe est de retour à la Place des Arts pour une 23e édition, du 29 octobre au 13 novembre. Sous le thème « Corporel, quand la chair dicte le récit », l’événement créé en 2000 cherchera à faire le pont entre les cultures arabe et occidentale. Son espace artistique se compose des volets arts de la scène, Salon de la culture et cinéma, proposant des œuvres qui mettent en valeur l’univers arabe. La programmation présente des artistes venus d’Iran, du Maroc, du Liban, d’Algérie, de Tunisie, de Turquie, ainsi que d’autres établis au Québec. L’événement se tiendra dans différents lieux culturels de la métropole, dont la libraire Paulines, le Théâtre Maisonneuve et le National.

Marissa Groguhé, La Presse

Consultez la programmation du festival

L’Orchestre symphonique de Longueuil à la Maison Symphonique

PHOTO OLIVIER JEAN, ARCHIVES LA PRESSE

Le chef de l'Orchestre symphonique de Longueuil et violoniste Alexandre Da Costa

Alors qu’il a récemment lancé sa saison 2022-2023, l’Orchestre symphonique de Longueuil et son chef d’orchestre Alexandre Da Costa se présenteront le 30 octobre sur la scène de la Maison Symphonique de Montréal pour un spectacle intitulé España. Le concert fera place au flamenco et tentera de transporter les spectateurs en Espagne, dans un cadre musical inspiré de la tradition typiquement ibérique. La cantatrice sévillane Ana Belén Cadaval, la guitariste flamenca Caroline Platé et le guitariste Alexandre Éthier seront du concert.

Marissa Groguhé, La Presse

Consultez le site de l'Orchestre symphonique de Longueuil

Une édition post-pandémique pour SIGHT+SOUND

PHOTO FOURNIE PAR EASTERN BLOC

Molecular Sex, de Johanna Bruckner, installation vidéo abordant le caractère queer de l’être

Sous le thème Danser en attendant (la fin du monde), le festival d'art numérique SIGHT+SOUND se tient au centre d'art Eastern Bloc jusqu'au 30 octobre. « Il y a donc un peu de légèreté dans cette 12e édition, mais aussi pas mal de gravité, ce qui n’empêche pas la poésie d’émerger. Au total, une trentaine d’artistes y participent. Des artistes internationaux que les commissaires [Sarah Ève Tousignant et Nathalie Bachand] connaissent ou dont elles ont vu les œuvres exposées ailleurs, notamment en Europe », nous explique le journaliste Éric Clément.

Lisez l'article d'Éric Clément Rendez-vous sur le site du Festival international d'art numérique

Un conte fantastique à l'Espace libre

PHOTO MARLÈNE GÉLINEAU PAYETTE, FOURNIE PAR ESPACE LIBRE

Image de L'enclos de Wabush

Présentée à Espace libre, la pièce L’enclos de Wabush nous plonge dans un multivers fantastique singulier où le personnage principal, Pierre Wabush, est en proie à ses démons. « Cette remarquable coproduction met en valeur la qualité et la pertinence des artistes autochtones contemporains », écrit notre collaborateur Mario Cloutier. Représentations les 27 et 28 octobre à 20 h et le 29 octobre à 16h.

Lisez l'article complet Mario Cloutier Consultez le site de l'Espace libre

Un party agricole avec le Cirque Alfonse

PHOTO BERTRAND EXERTIER, FOURNIE PAR MONTRÉAL COMPLÈTEMENT CIRQUE

Alain Carabinier (à l’avant) et les acrobates Jean-Philippe Cuerrier, Antoine Carabinier Lépine et Jonathan Casaubon

À défaut de river les spectateurs à leur fauteuil avec des performances de haut niveau qui donnent des sueurs froides, Animal du Cirque Alfonse propose de nombreux numéros qui font sourire, des clins d’œil complices au public et des fous rires à peine contenus des acrobates. La compagnie de cirque donne des représentations à Longueuil (le 27 octobre, 19 h 30) et à L'Assomption (le 28, à 20 h) de ce spectacle présenté à Montréal complètement cirque l'été dernier.

Stéphanie Morin, La Presse

Rendez-vous sur le site de la troupe circassienne

Au cinéma : TÁR et Coupez !

N’ayant rien tourné depuis le remarquable Little Children, sorti il y a 16 ans, Todd Field (In the Bedroom) fait un retour en force avec TÁR, un film écrit spécifiquement pour Cate Blanchett. Cette dernière est d’évidence exceptionnelle dans le rôle d’une cheffe d’orchestre se consacrant entièrement à son art pour mieux effacer quelques épisodes d’un passé trouble.

Marc-André Lussier, La Presse

Lisez la critique du film, écrite par Marc-André Lussier Consultez l'horaire cinéma

Appuyé par une distribution de haut vol (être à la fois faussement mauvais et vraiment bon ne relève pas de l’évidence !), Michel Hazanavicius, qui s’inspire souvent de différentes formes de cinéma dans ses longs métrages, propose cette fois une espèce d’hommage à tous ces artisans anonymes qui font rouler une industrie parallèle nichée, loin des grands festivals et des remises de prix. C’est très réussi, pour peu qu’on ait la patience de passer à travers la première partie !

Marc-André Lussier, La Presse

Lisez la critique complète de notre journaliste Consultez l'horaire cinéma