L’Université de Melbourne, en Australie, tiendra une conférence académique sur le phénomène « Swift » du 11 au 13 février prochain. Un évènement auquel sept universités d’Australie et de Nouvelle-Zélande participent.

Les universitaires participants ont l’intention de s’engager dans un « dialogue critique » sur l’impact de Taylor Swift sur la culture pop, la littérature, l’économie et l’industrie musicale, entre autres choses.

Les organisateurs de l’évènement baptisé « Swiftposium », qui aura lieu quelques jours avant les représentations de sa tournée Eras, recevront des thèses de chercheurs de la région Asie-Pacifique, provenant de départements aussi variés que sociologie, économie, marketing et études de genres.

Il sera notamment question de la relation de la star avec les mouvements sociaux comme le féminisme et les droits des groupes LGBTQ+, son influence sur la sphère politique, les questions d’identité et de genres, ainsi que l’impact de ses tournées sur l’économie et la culture.

L’Université du Texas à Austin propose un cours où l’on peut étudier les textes de Taylor Swift, tandis que l’Université Ghent en Belgique offre cet automne un cours sur la valeur littéraire de sa discographie. L’Université d’Arizona offre quant à elle un cours intitulé Psychology of Taylor Swift – Advanced Topics of Social Psychology.