Quoi voir cette semaine ? Voici nos critiques des derniers films sortis en salle ou sur une plateforme.

Priscilla : Elvis, cœur de pygmalion

« L’adaptation par Sofia Coppola de la biographie de Priscilla Presley, Elvis and Me, parue en 1985, est une œuvre subtile et intimiste sur l’émancipation d’une femme sous le joug d’un pygmalion depuis l’adolescence », écrit notre chroniqueur Marc Cassivi.

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Rustin : Le héros oublié

« Avec l’aval de Barack et Michelle Obama comme producteurs, le film biographique Rustin, qui sort ce week-end dans quelques salles au pays avant d’atterrir sur Netflix, est un long métrage d’exception ! Ce film réalisé par George C. Wolfe répare une injustice de l’histoire envers un homme qui a consacré sa vie à combattre… l’injustice », écrit notre journaliste Luc Boulanger.

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Le procès Goldman : Un portrait d’époque captivant

« Le procès Goldman de Cédric Kahn (L’ennui, Une vie meilleure) est un huis clos tendu autour d’un personnage principal fébrile et éloquent, qui s’adonne à une joute verbale fascinante, comme un boxeur se trouvant seul dans le ring contre la justice française », écrit notre chroniqueur Marc Cassivi.

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La chambre des merveilles : Mère courage

« Il y a des films qu’on admire parce qu’ils renouvellent le langage cinématographique avec génie. Et il y en a d’autres qui, sans révolutionner le 7art, trouvent une place dans notre cœur. La chambre des merveilles fait partie de cette dernière catégorie », écrit notre journaliste Luc Boulanger.

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Fingernails : Un peu de Yórgos, un soupçon de Wes, mais pas assez d’amour

« La prémisse de Fingernails est fort intéressante. Le récit se déroule à une époque jamais révélée : esthétique rétrofuturiste, absence des technologies, mode normcore généralisée. Il existe cependant une machine qui permet d’obtenir la preuve scientifique que deux personnes sont faites l’une pour l’autre. Il suffit d’être prêt à sacrifier un ongle », écrit notre journaliste Pascal Leblanc.

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Sly : Les origines violentes de Rocky et de Rambo

« Près du tiers de Sly est consacré à la création de Rocky puis à la célébrité que le film de 1976 a procurée à l’acteur. Il est intéressant de l’entendre s’exprimer sur les défis de la production du long métrage et de la gestion du succès par la suite. On comprend également que l’essence de la série des Rocky est puisée dans la vie de son créateur : la violence de son enfance, ses rêves, ses échecs. Il en va de même pour le personnage de Rambo, une facette encore plus brutale de sa psyché », écrit notre journaliste Pascal Leblanc.

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