Quoi voir cette semaine ? Voici nos critiques des derniers films sortis en salle ou sur une plateforme.

Mean Girls : Une version musicale tout aussi bonne

« On pourrait comparer cette nouvelle version de Mean Girls à des retrouvailles scolaires. Certes, les élèves ont rajeuni plutôt que vieilli, mais on y retrouve cette familiarité réconfortante qui nous fait à la fois réaliser que le temps passe et qu’on peut le rattraper en un instant », écrit notre journaliste Pascal Leblanc.

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Rien à perdre : Instinct maternel

« Le récit de Rien à perdre s’inspire de rencontres avec des dizaines de familles et de travailleurs sociaux faites par la cinéaste. À cet égard, les dialogues, tant les réparties vives de la mère, les mots d’enfants, les prises de bec que le charabia judiciaire, s’avèrent d’une rare justesse », écrit notre journaliste Manon Dumais.

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The Book of Clarence : Un bon larron

« Né dans la tête de Samuel, Clarence (LaKeith Stanfield) est un jeune homme vivant à Jérusalem qui sera témoin des miracles de Jésus (Nicholas Pinnock) et vivra, parfois à son corps défendant, des évènements semblables à ceux du Christ », écrit notre journaliste Manon Dumais.

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La Petite : Un homme et un couffin

« Le cinéaste signe ici un film humain et porteur d’espoir qui, à défaut de nous bouleverser, nous réconforte. Sans réinventer la roue, Nicloux filme avec conviction la renaissance d’un sexagénaire taciturne dont la vie a été marquée par plusieurs épreuves », écrit notre journaliste Luc Boulanger.

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Freud’s Last Session : Deuil et mélancolie

« Le dramaturge américain Mark St. Germain a imaginé que le père de la psychanalyse a convié chez lui C. S. Lewis (Matthew Goode), qui deviendra célèbre dans les années 1950 grâce à sa série de romans jeunesse Le monde de Narnia. Adaptation de la pièce de St. Germain, qu’il a coscénarisée avec le réalisateur Matt Brown, Freud’s Last Session souffre quelque peu de ses origines théâtrales », écrit notre journaliste Manon Dumais.

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Lift : Un autre film de gentils voleurs

« C’est la version posée et non paquet de nerfs de Kevin Hart (Central Intelligence, les nouveaux Jumanji) qui incarne Cyrus, leader de l’équipe. Sans être mauvais, il perd un peu de son intérêt lorsqu’il joue ce genre de rôle. À l’exception du brillant Vincent D’Onofrio (Dumb Money, Full Metal Jacket), le reste du groupe est plutôt insipide. Et surtout rempli de clichés », écrit notre journaliste Pascal Leblanc.

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The Beekeeper : Tuer pour la ruche

« La ruche, c’est notre société. Le rôle des Apiculteurs (Beekeepers) est de la protéger, à tout prix. Les membres de cette organisation clandestine exercent leurs activités en dehors des lois pour le bien commun. Voici les grandes lignes du nouveau film de David Ayer (Suicide Squad, Bright) », écrit notre journaliste Pascal Leblanc.

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