Quoi voir cette semaine ? Voici nos critiques des derniers films sortis en salle ou sur une plateforme.

Lucy Grizzli Sophie : L’ours et la poupée

« L’humour noir de l’autrice et l’approche ludique de la réalisatrice, toutes deux inspirées par les thrillers américains des années 1980, font de Lucy Grizzli Sophie, titre sibyllin qui prend tout son sens au fil du récit solidement ficelé, un thriller psychologique jubilatoire au cours duquel le spectateur se verra férocement confronté à ses propres préjugés », écrit notre journaliste Manon Dumais dans sa critique.

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The Peasants : Seule face à la foule déchaînée

« Les personnages sont dépeints si sommairement et le récit est truffé de tant d’ellipses que l’ensemble se révèle trop peu consistant et captivant. Demeure dans cette pinacothèque contemplative l’hommage chaleureux aux racines polonaises de DK Welchman que l’on découvre grâce à sa riche trame sonore et à ses entraînantes danses folkloriques », mentionne notre journaliste Manon Dumais dans sa critique.

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Le consentement : Le loup et l’agneau

« Alors que l’autrice décortiquait avec minutie l’emprise qu’exerçait sur elle son bourreau, la cinéaste s’est appliquée à concevoir un florilège de paroles creuses et de considérations malsaines sur l’amour puisées à même l’œuvre de Matzneff. À défaut d’être une grande réussite cinématographique, ce Consentement a le mérite de faire œuvre utile », explique la journaliste Manon Dumais dans sa critique.

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Kina & Yuk : renards de la banquise : La beauté du Grand Nord et de ses habitants

« On ne peut pas reprocher au film de ne pas être d’actualité. Cette mise en images des répercussions des changements climatiques dans le Grand Nord insuffle une volonté d’apporter sa contribution à cette lutte. Le long métrage se termine d’ailleurs par un appel à l’action : "Tout est encore possible. À nous d’agir ! " », écrit notre journaliste Véronique Larocque dans sa critique.

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Filles en cavale : Le secret est dans la valise

« Empruntant aux codes du road movie et des films de sexploitation des années 1970, Ethan Coen et Tricia Cooke signent un film qui échoue lamentablement à divertir. Le plus embarrassant dans Drive-Away Dolls, c’est la manière dégradante qu’a Ari Wegner, brillante directrice photo de l’éblouissant The Power of the Dog, de Jane Campion, d’éclairer et de cadrer les actrices, notamment dans les scènes, très crues, à caractère sexuel. D’un anachronisme dérangeant », écrit notre journaliste Manon Dumais dans sa critique.

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