Je suis un fier Canadien. J’aime profondément mon pays, mais depuis quelque temps, comme bon nombre de mes concitoyens et concitoyennes, je ne le reconnais plus. La course à la chefferie du Parti conservateur du Canada est une occasion de réfléchir à notre avenir collectif et de redéfinir la société que nous voulons léguer à nos enfants. C’est pourquoi, après avoir examiné soigneusement le programme de chacun des candidats, j’ai décidé d’appuyer publiquement Pierre Poilievre.

M. Poilievre est le candidat qui a les meilleures chances d’unir son parti et de le mener à la victoire aux prochaines élections fédérales. Homme de cœur, père de famille et député d’expérience à la Chambre des communes depuis 2004, il a été ministre à deux reprises au sein du cabinet de Stephen Harper. Sur les bancs de l’opposition, il est un porte-parole brillant et efficace. Jeune, charismatique, dynamique et accessible, il propose des solutions concrètes et adaptées aux réalités d’aujourd’hui. Il incarne le gros bon sens. Communicateur redoutable possédant un sens de la répartie savoureux, il s’exprime sans détour et ne se laisse pas intimider. Qui plus est, il parle un français impeccable — qualité indispensable pour quiconque aspire aux plus hautes fonctions du pays.

M. Poilievre s’intéresse aux enjeux qui touchent le quotidien des gens.

Il a compris que la lourdeur de la bureaucratie et la réglementation excessive sont un frein au développement de l’économie canadienne.

Il a compris que le Canada a perdu le contrôle de ses finances et fonce tout droit vers un mur.

Il a compris que l’inflation a des effets dévastateurs sur de nombreuses familles qui travaillent si fort pour joindre les deux bouts et qui doivent s’endetter pour pouvoir vivre et mettre du pain sur la table.

Il a compris la nécessité de réformer les institutions qui ont laissé tomber les intérêts des familles canadiennes.

Il a compris la nécessité de faciliter l’accès au logement et à la propriété pour les jeunes et les familles, dans un marché où la surenchère est devenue reine.

Il a compris la nécessité pour le Canada de reprendre le contrôle de son énergie et de mettre fin aux importations de pétrole provenant de pays bafouant les droits de la personne et les normes environnementales.

Il a compris la nécessité de gérer les finances publiques de façon responsable et sans l’influence des lobbies étrangers.

Il a compris l’importance de redonner aux gens le plein contrôle de leur vie afin qu’ils puissent se déplacer et voyager librement et faire des choix médicaux sans contraintes ni menaces.

Il a compris que les gens en ont assez de se faire infantiliser, intimider et réprimander par un gouvernement dont le seul véritable intérêt n’est que de réaliser des gains politiques.

Il a compris l’importance du respect, du dialogue et du vivre-ensemble.

Il a compris que l’unité vaut mieux que la division.

Il a compris que le gouvernement actuel est allé beaucoup trop loin durant la pandémie, dans le seul but de se faire réélire — sans empathie, sans nuance et sans égard à la détresse psychologique et à la souffrance des gens.

Il a compris la nécessité de rétablir la réputation et l’image du Canada — profondément ternies ces dernières années – sur la scène internationale et de regagner le respect de nos alliés.

Il a compris que la meilleure façon de connaître les préoccupations des gens, c’est d’aller à leur rencontre sur le terrain et de les écouter.

Il a compris que le respect de la liberté individuelle, pierre angulaire de la démocratie, est primordial pour mériter la confiance des citoyens et des citoyennes.

Il a compris ce dont le peuple canadien et le Canada ont besoin, et son programme en témoigne. Avec lui aux commandes du Parti conservateur, le Canada n’a rien à perdre, mais tout à gagner.

Bref, M. Poilievre est une bouffée d’air frais dans le paysage politique actuel asphyxié par la division et l’hypocrisie. Il incarne le renouveau, gage d’un avenir optimiste et prospère.

* Conseiller municipal lavallois depuis 2013, David De Cotis a été maire adjoint de Laval de 2013 à 2018 ; président de la Société de transport de Laval de 2013 à 2017 ; et président de Laval Technopole de 2013 à 2017. Il est le fondateur du parti municipal Mouvement lavallois.

Qu'en pensez-vous? Exprimez votre opinion