Selon Stefan Ulrich, journaliste au quotidien allemand Süddeutsche Zeitung, Dominique Strauss-Kahn aurait mieux fait de garder le silence plutôt que d'accorder cette entrevue à Claire Chazal, dimanche dernier sur les ondes de TF1. Un silence qui aurait mieux servi le PS et l'intérêt des Français que son mea culpa timide qui n'était pas à la hauteur de la gravité du scandale qui a entaché la réputation de l'ancien grand patron du FMI.

Le journaliste allemand revient sur cet entretien au 20h, où DSK livre ses premières explications sur l'épisode Nafissatou Diallo. Une sortie médiatique qui semblait «calculée et étudiée» où les Français ont pu voir un Dominique Strauss-Kahn incapable d'«empathie», avance le journaliste allemand.

À lire sur courrierinternational.com