Des propriétaires nous ouvrent les portes de leur demeure d’exception, offerte sur le marché de la revente.

Sylvie Searle et son conjoint habitaient depuis 19 ans en Guadeloupe lorsqu’ils ont mis le cap sur Montréal. Ils savaient qu’ils s’installeraient au Québec, où Sylvie est née, lorsque les études de leurs deux filles le nécessiteraient. Habitués de vivre au grand air, ils ont été séduits par l’idée d’habiter un vaste appartement en copropriété de deux étages, doté de deux spacieuses terrasses, au cœur du centre-ville de Montréal.

Ils ont suivi avec intérêt la construction de l’immeuble de huit étages, nommé Le Verdi, intégré entre deux immeubles rue Drummond, au nord de la rue Sainte-Catherine Ouest. Ils ont emménagé en 2014.

« On est venus régulièrement pendant la construction, explique la copropriétaire. On changeait de vie. On avait vécu dans les Caraïbes, au soleil, et on avait vraiment envie de profiter de la ville, des restaurants, des cinémas, des théâtres et des spectacles. L’appartement, par ailleurs, est très élégant. Il me fait penser aux maisons en rangée, collées les unes sur les autres. Il n’y a pas de fenêtre sur les côtés, mais il y en a à l’avant et à l’arrière. C’est le même principe. »

  • Au 8e étage, le salon est baigné de lumière. Il donne sur la terrasse où a été installée une baignoire à remous. 

    PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, LA PRESSE

    Au 8e étage, le salon est baigné de lumière. Il donne sur la terrasse où a été installée une baignoire à remous. 

  • La cuisine principale se trouve au 8e étage, entre le salon et la salle à manger. 

    PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, LA PRESSE

    La cuisine principale se trouve au 8e étage, entre le salon et la salle à manger. 

  • La salle à manger est ouverte sur une spacieuse terrasse, d’une superficie de 880 pi2 (81,7 m2).  

    PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, LA PRESSE

    La salle à manger est ouverte sur une spacieuse terrasse, d’une superficie de 880 pi2 (81,7 m2).  

  • Le salon se prolonge à l’extérieur, sur une terrasse loin des regards indiscrets. 

    PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, LA PRESSE

    Le salon se prolonge à l’extérieur, sur une terrasse loin des regards indiscrets. 

  • La salle à manger s’ouvre sur cette terrasse, aménagée pour relaxer et prendre des repas à l’extérieur. 

    PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, LA PRESSE

    La salle à manger s’ouvre sur cette terrasse, aménagée pour relaxer et prendre des repas à l’extérieur. 

  • La salle à manger donne sur cette spacieuse terrasse ensoleillée. Aucun voisin ne se trouve à proximité.  

    PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, LA PRESSE

    La salle à manger donne sur cette spacieuse terrasse ensoleillée. Aucun voisin ne se trouve à proximité.  

1/6
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  

L’ascenseur se rend directement au septième étage, où se trouvent les chambres. Les filles, qui avaient au début 11 et 14 ans, avaient chacune leur chambre, une penderie et une salle de bains, du côté de la rue Drummond. De l’autre côté, leurs parents avaient leur chambre, leur salle de bains et leur penderie, adjacentes à un grand bureau et à une cuisine d’appoint. Un escalier, au centre, mène où se trouvent la cuisine principale, la salle à manger et le salon. À chaque extrémité se trouve une spacieuse terrasse.

« Ce pourrait être un appartement multigénérationnel. Des grands-parents pourraient s’installer dans une section du septième étage, qui pourrait être davantage séparée », explique Sylvie Searle.

« Mais nous, on voulait vraiment un espace pour travailler. C’est en partie ce qui nous a séduits, précise la copropriétaire. On n’imagine pas qu’un appartement comme cela existe dans l’immeuble. C’est très discret. On aimait bien ce petit côté secret. »

« C’est tranquille »

  • Un ascenseur mène directement à l’appartement, au 7e étage, où se trouvent trois chambres (avec leur penderie et leur salle de bains respectives), un spacieux bureau et une cuisine d’appoint. 

    PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, LA PRESSE

    Un ascenseur mène directement à l’appartement, au 7e étage, où se trouvent trois chambres (avec leur penderie et leur salle de bains respectives), un spacieux bureau et une cuisine d’appoint. 

  • L’appartement s’apparente à une maison en rangée.

    PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, LA PRESSE

    L’appartement s’apparente à une maison en rangée.

  • Un spacieux bureau a été aménagé au 7e étage. 

    PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, LA PRESSE

    Un spacieux bureau a été aménagé au 7e étage. 

  • Le bureau est adjacent à une cuisine d’appoint, au 7e étage. 

    PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, LA PRESSE

    Le bureau est adjacent à une cuisine d’appoint, au 7e étage. 

  • Voici l’une des trois chambres, au 7e étage. 

    PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, LA PRESSE

    Voici l’une des trois chambres, au 7e étage. 

  • Chacune des chambres est dotée d’une penderie de style walk-in, qui mène à une salle de bains. 

    PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, LA PRESSE

    Chacune des chambres est dotée d’une penderie de style walk-in, qui mène à une salle de bains. 

1/6
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  

Pendant sept ans, jusqu’à ce que leurs filles quittent le nid, la famille a profité pleinement des deux terrasses. Une baignoire à remous a été installée dans un coin de la terrasse, qui est ouverte sur le salon.

« C’est tranquille, on n’a pas de voisin, précise Sylvie Searle. Il n’y a personne de chaque côté, ni au-dessus. Si on veut faire une fête sur le toit, on ne dérange pas. On est au huitième étage et le voisin le plus proche est au sixième. En étant au huitième étage, par ailleurs, c’est très agréable. Il n’y a pas beaucoup de vent. Les autres immeubles sont assez éloignés. On a une vue ouverte sur les environs et c’est ensoleillé toute la journée. »

Avec ses deux terrasses, l’appartement occupe 22 % de l’espace de l’immeuble, ce qui se reflète dans les charges de copropriété. L’édifice ne comportant que 10 appartements, il y a toutefois peu d’espaces et d’équipements communs à entretenir. Il ne s’y trouve en effet ni gym, ni piscine, ni terrasse commune sur le toit. « Tous se connaissent et l’immeuble est bien géré par des copropriétaires, précise Mme Searle. Il n’y a pas de location à court terme, c’est un an minimum. Plusieurs copropriétaires habitent ici. On échange beaucoup. C’est comme une petite communauté. »

Les filles étant parties, l’appartement s’avère trop spacieux pour leurs parents, qui passent beaucoup de temps dans les Cantons-de-l’Est, où ils ont un commerce. « Je suis un peu plus souvent à Montréal que mon mari, pour être près de nos filles, souligne Mme Searle. On a pris un autre appartement, qui est plus un pied-à-terre. On a vécu de très beaux moments ici. Mais c’est devenu beaucoup trop grand pour nos besoins. »

La propriété en bref

Prix demandé : 2 998 000 $

Année de construction : 2014

Superficie habitable : 2611 pi2 (242,5 m2)

Superficie des deux terrasses : Environ 1500 pi2 (139,35 m2)

Évaluation municipale : 1 673 700 $

Impôt foncier : 12 530 $

Taxe scolaire : 1727 $

Charges mensuelles de copropriété : 1091 $

Courtier immobilier : Yi Lu Engel & Völkers Montréal

Consultez la fiche de la propriété