Une autre journée, un autre ami de la nouvelle direction du Canadien est embauché.
Deux autres, en fait, puisque l’embauche de Nick Bobrov a été annoncée en même temps que celle de Vincent Lecavalier. C’est évidemment l’arrivée de ce dernier qui fait le plus jaser, ce qui incite nos invités à se demander : est-ce que le Canadien passe simplement d’une clique à l’autre, de celle de « gros bras » à celle de Kent Hughes et Jeff Gorton ?
La nomination de Lecavalier ramène également dans les discussions la question de l’attractivité de Montréal pour les joueurs autonomes. Lecavalier a annoncé qu’il aiderait l’équipe dans cet aspect, mais un gars qui n’a jamais joué à Montréal sera-t-il crédible auprès des candidats potentiels ? Le départ de Tyler Toffoli, le réveil de Cole Caufield et l’avenir de l’espoir Jordan Harris font aussi jaser nos invités du jour.
Dans cet épisode de l’émission balado Sortie de zone, une collaboration entre La Presse et le 98,5 FM, l’animateur Jérémie Rainville reçoit Jeremy Filosa, Mikaël Lalancette et Guillaume Lefrançois.
L’épisode intégral
J’aime beaucoup quand Vincent dit qu’il veut challenger. J’espère que c’est vrai et je veux y croire. Si on ne débat pas autour de la table, c’est là que la culture “un chum, c’t’un chum”, c’est pas bon. Sinon, qu’il y ait une chimie, ce n’est que bon, ça amène de la confiance et ça fait en sorte que tout le monde rame dans la même direction.
Mikaël Lalancette
L’effet Martin St-Louis, ça dure encore, mais ça va finir par s’estomper, et la routine va s’installer. Ça va être la même chose pour Caufield. Quand il va passer trois ou quatre matchs sans marquer, ses erreurs vont peut-être agacer un peu plus le groupe d’entraîneurs, il va moins jouer dans des moments critiques. Ça va faire partie de la chose. Mais c’est la meilleure nouvelle qu’il soit arrivé au Canadien depuis plusieurs mois. Ils ont besoin de Caufield.
Mikaël Lalancette