«Suite à la réception de preuves nouvelles, le Conseil mondial a été re-convoqué pour une audience à Paris le 13 septembre. En accord avec (la) décision du 26 juillet, les représentants de McLaren ont été invités à assister à l'audience», selon le communiqué.

«Suite à la réception de preuves nouvelles, le Conseil mondial a été re-convoqué pour une audience à Paris le 13 septembre. En accord avec (la) décision du 26 juillet, les représentants de McLaren ont été invités à assister à l'audience», selon le communiqué.

«L'appel du président de la FIA Max Mosley devant la Cour d'appel internationale (de la FIA) a été retiré», est-il précisé. Initialement prévue pour l'examen de l'appel, l'audience du 13 septembre sera finalement consacrée à l'examen de ces «nouvelles preuves».

Le 26 juillet, le Conseil mondial de la FIA, réuni à Paris en session extraordinaire, n'avait pas imposé de sanction à McLaren alors qu'il se déclarait «convaincu» que l'écurie avait eu à sa disposition des «informations confidentielles concernant Ferrari et a donc enfreint l'article 151c du Code sportif international.»

«Il n'y a pas suffisamment de preuves que ces informations aient été utilisées à l'encontre du règlement du Championnat du monde de F1 de la FIA. Nous décidons donc de n'infliger aucune pénalité», avait ainsi conclu le Conseil.

M. Mosley avait relevé appel de la décision du Conseil mondial.

La Scuderia accuse Nigel Stepney, un ancien chef mécanicien licencié depuis le début de l'affaire, d'avoir transmis des documents confidentiels concernant la monoplace F2007 utilisée par Kimi Raikkonen et Felipe Massa cette saison à Mike Coughlan, lui-même suspendu par McLaren-Mercedes.