Lorsqu’elle roule sur son Can-Am Ryker, Bianca Baril croise une communauté de gens comme elle : des passionnés en quête d’aventures inattendues et d’exaltation de conduire. Ils viennent de tous les milieux, de tous les groupes d’âge et pratiquent des professions parfois surprenantes. Chacun et chacune à sa manière, ils tracent leur route.
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XTRA est une section qui regroupe des contenus promotionnels produits par ou pour des annonceurs.
Les sports motorisés, Bianca Baril en mange ! Avec son petit côté mécano et son amour des moteurs, la trentenaire se qualifie elle-même de « crinquée de machines ». Dès que les conditions le permettent, elle monte sur son Can-Am Ryker pour une première sortie, un moment qu’elle attend impatiemment, chaque printemps.
C’est une liberté d’esprit : tu mets ton casque, tu pars et tu ne penses plus à rien, sauf à toi, à la route et à la machine. C’est aussi la liberté d’avoir l’impression que tu pourrais aller n’importe où.
Bianca Baril, rider et propriétaire d’un Can-Am Ryker
PHOTO : SIMON COUTURIER-KLXVI. COM
Moto, boulot, dodo
De 8 à 5, l’adepte de sensations fortes troque ses bottes de moto pour des talons hauts. Notaire de profession, elle occupe un poste de conseillère juridique dans une entreprise spécialisée en construction commerciale et en fabrication de structures d’acier. Ce milieu dynamique et typiquement masculin l’a justement attirée parce qu’il rompait avec l’univers classique et cérébral du notariat. Un contraste que la jeune professionnelle recherche également quand elle roule avec son Ryker.
Ce contraste-là, ça me le prend dans ma vie. Ça me prend les deux : le fait d’être sollicitée intellectuellement et l’adrénaline des sports motorisés. C’est mon équilibre.
Bianca Baril, rider et propriétaire d’un Can-Am Ryker
« T’as pas l’air de ça »
Briser les préjugés, ça fait un peu partie de l’ADN de Bianca. Une seconde nature, si on veut. La phrase « Pourtant, t’as pas l’air de ça », très peu pour elle ! « Il ne devrait pas y avoir de profil type, d’idées préconçues sur ce que c’est être un ou une rider », dit-elle. À ses yeux, quiconque est attiré par la pratique de loisirs motorisés – moto trois roues, motoneige, motocross, motomarine – devrait se laisser le droit d’essayer et de découvrir de nouvelles choses.
PHOTO : ANTOINE ANCTIL, CHICKS AND MACHINES
Chicks and Machines
Des sœurs de route qui partagent sa philosophie, Bianca en a trouvé plus d’une lorsqu’elle a découvert l’univers des Chicks and Machines. Grâce à cette communauté qui valorise la femme amatrice de machines de façon respectueuse, la passionnée a déniché d’autres « crinquées » faites de la même étoffe qu’elle. Des femmes avec qui échanger au sujet des dernières nouveautés, avec qui rider, parler moteur et contribuer à faire une place aux femmes dans un milieu duquel elle a longtemps été exclue.
Ce n’est pas parce que tu es une femme que tu ne peux pas avoir une passion pour les sports motorisés. Cette communauté me permet d’échanger avec d’autres femmes qui partagent cet amour-là et – pourquoi pas ? – peut-être d’en encourager d’autres à essayer, à emboîter le pas et à découvrir.
Bianca Baril, rider et propriétaire d’un Can-Am Ryker
PHOTO : SIMON COUTURIER-KLXVI. COM
Oser : l’étape la plus difficile
La moto trois roues reste une porte d’entrée facile d’accès pour celles et ceux que cet univers appelle, croit Bianca. La stabilité du véhicule, le sentiment de sécurité qu’il procure et la simplicité des démarches pour obtenir un permis en font une option attrayante pour les premiers conducteurs. Mais attention, l’adepte de sensations fortes en elle ne reste pas sur son appétit avec son Can-Am Ryker… « Reste que j’en ai essayé, des machines ! » dit-elle en riant. Le Ryker lui offre une belle expérience de conduite et un bon feeling d’accélération. « Oser essayer quelque chose de nouveau, c’est l’étape la plus difficile », conclut-elle.
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