En plus d’un salaire concurrentiel et de mesures de conciliation travail-vie privée, toute entreprise doit offrir des avantages sociaux attrayants pour recruter (et conserver) les talents dont elle a besoin. Comment la vôtre peut-elle implanter, à un coût accessible, un régime d’assurance collective qui contribue réellement au mieux-être physique, psychologique et financier de votre équipe ? Le Régime des chambres de commerce vous fait part ici de quelques éléments à comparer lors de votre recherche d’un programme d’avantages sociaux.

Qu’est-ce qu’un XTRA?

XTRA est une section qui regroupe des contenus promotionnels produits par ou pour des annonceurs.

1. Coût de l’assurance collective au renouvellement

Entre deux voitures, achèteriez-vous celle qui se vend pour 1000 $ en moins, mais qui consomme 50 % plus d’essence ? Probablement pas. C’est pourtant le type d’erreur que commettent bon nombre de gestionnaires en basant leur choix d’assurance collective uniquement sur le coût initial, sans penser à long terme.

Au renouvellement, l’augmentation varie selon les réclamations effectuées en soins médicaux et dentaires. Chaque compagnie d’assurance établit sa tarification au renouvellement sur ses frais d’administration, facteur d’inflation et frais de mutualisation ainsi que sur ses frais de réserve.

Audrey Girard-Lachapelle, conseillère en régimes d’assurance collective

Comparer différentes soumissions s’avère donc un calcul plutôt complexe. Il demeure tout de même possible d’effectuer des projections et d’estimer l’incidence de futures réclamations en demandant à un ou une spécialiste en assurance collective d’effectuer une analyse incluant une projection de renouvellement sans frais.

2. Valeur ajoutée de la compagnie d’assurance

Certaines compagnies d’assurance ajoutent également des programmes d’aide au personnel et aux propriétaires d’entreprise dont l’utilisation n’influence pas le renouvellement. Par exemple, le Régime des chambres de commerce inclut l’accès à des services de télémédecine et d’aide psychosociale pour le personnel, ainsi qu’à des conseils téléphoniques en matière de ressources humaines, de droit et de comptabilité pour le ou la propriétaire d’entreprise.

C’est important de bien présenter ces ressources d’aide aux membres du personnel et de les encourager à s’en servir afin d’atteindre l’objectif premier : contribuer à leur mieux-être.

Audrey Girard-Lachapelle, conseillère en régimes d’assurance collective

3. Accès à des garanties additionnelles

Certaines compagnies d’assurance proposent des comptes gestion-santé et des comptes mieux-être qui procurent davantage de liberté au personnel en fonction de ses besoins uniques. Ce budget peut servir à couvrir certains soins au-delà des maximums atteints ou des dépenses variées telles qu’un abonnement au gym, des consultations vétérinaires, des frais de scolarité ou des titres de transport en commun.

4. Qualité et efficacité du service à la clientèle

La compagnie d’assurance fournit habituellement au personnel une appli mobile ou un portail web où soumettre ses réclamations, se renseigner sur sa couverture et trouver les réponses à ses questions. Même chose du côté de la personne responsable de l’administration du régime, pour qui ces technologies simplifient la gestion, l’accès à l’information et les transactions. Néanmoins, la qualité de ces solutions — de même que la complexité des processus en place et la facilité à obtenir de l’accompagnement en cas de problème — varie grandement d’un fournisseur à l’autre.

Le Régime des chambres de commerce est reconnu pour sa rapidité et pour son efficacité. En moyenne, il suffit de quatre jours ouvrables après l’envoi des renseignements complets pour que le régime collectif entre en vigueur.

Audrey Girard-Lachapelle, conseillère en régimes d’assurance collective

La grande assurance des petites entreprises

Premier du genre au pays, le Régime des chambres de commerce permet à quelque 30 000 entreprises canadiennes d’offrir une couverture complète englobant les soins médicaux et dentaires, l’assurance voyage, l’invalidité, l’assurance vie et l’assurance maladie grave à un prix concurrentiel et durable.

Puisque le programme est sans but lucratif, les surplus demeurent dans le régime afin d’en réduire les primes. De plus, les taux au renouvellement sont pondérés en fonction des réclamations effectuées par rapport au groupe, ce qui contribue à leur stabilité (l’augmentation moyenne des 10 dernières années au Canada est d’à peine 4 %).

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