Comme les cotisations à un régime enregistré d’épargne-études (REEE) sont admissibles à de généreuses subventions gouvernementales, il s’agit là d’un cadeau précieux qui permet à un jeune de préparer son avenir et de nourrir ses ambitions. Vous pouvez ainsi contribuer au financement des études postsecondaires d’un enfant qui vous est cher. Voici comment.
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XTRA est une section qui regroupe des contenus promotionnels produits par ou pour des annonceurs.
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Survol de régime enregistré d’épargne-études
Cotiser à un REEE n’est pas réservé qu’aux parents du bénéficiaire ; vous pourriez contribuer au financement des études postsecondaires d’un petit-enfant, d’un neveu, d’une nièce ou encore de l’enfant d’un proche. Les cotisations, qui peuvent aller jusqu’à 2500 $ par année, donnent droit à de généreuses subventions gouvernementales totalisant 30 % (20 % au fédéral et 10 % au Québec) de l’argent investi, jusqu’au 31 décembre de l’année où l’enfant fête ses 17 ans1. En fonction de leur revenu familial net, les ménages à faible revenu peuvent également être admissibles à des subventions supplémentaires sur les premiers 500 $ en cotisations annuelles.
Si les cotisations effectuées au cours d’une année ne permettent pas d’obtenir le montant maximal des subventions, il pourrait être possible de cotiser davantage lors d’une année ultérieure et de récupérer le montant manquant de la subvention.
Angela Iermieri, planificatrice financière, Desjardins
Un investissement flexible pour le financement des études
Selon le choix du produit, du montant que vous souhaitez verser et de sa fréquence, le REEE permet d’épargner à l’abri de l’impôt. Votre conseiller ou votre conseillère Desjardins vous accompagne afin de choisir les placements qui correspondent à vos besoins, à votre horizon de placement et à votre tolérance au risque. Sous l’effet du temps, même de petits versements automatiques peuvent devenir de gros montants. Plus les cotisations commencent tôt, plus le résultat à long terme est impressionnant.
Les subventions gouvernementales s’ajoutent à votre épargne, et le rendement de ces subventions s’ajoute aussi au rendement de vos cotisations.
Angela Iermieri, planificatrice financière, Desjardins
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Les études dont l’enfant rêve
Une fois son secondaire terminé, plusieurs voies s’offrent au nouveau finissant. Poursuivra-t-il son parcours scolaire avec des études collégiales ? Techniques ? Universitaires ? Dans un établissement public ou privé ? Dans sa ville natale, ailleurs au pays ou dans une destination étrangère, tout en demeurant résident canadien ? Le REEE agit comme coussin financier et aide à ce que l’argent ne devienne pas un obstacle aux ambitions, afin que toutes ces options demeurent ouvertes.
Peu d’incidence fiscale
Une fois l’argent retiré, seule la portion composée des subventions gouvernementales et des revenus de placement est imposable pour le bénéficiaire. Dans le cas d’un décaissement progressif pour un jeune qui ne travaille pas encore à temps plein et dont les revenus sont modestes, la facture fiscale pourrait s’avérer minime.
Se concentrer sur l’essentiel
Cette somme peut être utilisée de n’importe quelle façon, et pas exclusivement pour rembourser les frais de scolarité. S’acheter une première voiture pour rendre visite à la famille lors des congés, s’alimenter sainement, louer un appartement bien situé ou encore se constituer une mise de fonds pour acquérir une copropriété près du lieu d’études : tout ça devient possible.
Ouvrez un REEE pour un enfant1 Certaines conditions s’appliquent pour les années du 16e et du 17e anniversaire du bénéficiaire.