Lieu de tous les savoirs, l’université sert à bien plus qu’à obtenir un diplôme. C’est un endroit où les grands esprits se rencontrent et s’inspirent, et un tremplin vers un avenir rempli de projets qui contribueront à façonner positivement le monde. Rencontre avec trois personnes diplômées de l’UQAM qui font bouger les choses grâce à leur créativité, leur engagement social et leurs valeurs.
Qu’est-ce qu’un XTRA?
XTRA est une section qui regroupe des contenus promotionnels produits par ou pour des annonceurs.
Laurent Levesque
Le logement à l’échelle humaine
CRÉDIT : NATHALIE ST-PIERRE
Laurent Levesque a toujours souhaité contribuer à l’amélioration de la société québécoise pour la rendre plus juste, équitable et inclusive. Lorsqu’il étudie à l’UQAM au baccalauréat en urbanisme, il découvre les enjeux liés à l’habitation. « Ce sont mes cours qui ont porté sur le logement et l’immobilier qui m’ont mené à des réflexions sur le besoin de logement responsable, et éventuellement conduit à cofonder une entreprise immobilière à but non lucratif », explique-t-il. C’est ainsi que naît l’UTILE, une compagnie dédiée à l’implantation de logements étudiants abordables et durables, dont Laurent assume la direction générale.
Sans me considérer comme un entrepreneur avant de cofonder l’UTILE, j’ai tout de même de longue date accepté que, pour avoir un impact positif, des fois, il faut prendre des risques ou créer des projets qui n’existent pas déjà.
Laurent Levesque
Aujourd’hui, l’entreprise a construit 600 logements au Québec et a plusieurs projets en cours. Outre ces accomplissements de taille, la fierté de Laurent se trouve dans l’équipe bâtie au fil des années. « Elle regroupe environ 35 professionnels engagés qui me permettent d’avoir confiance que nous allons construire des centaines, voire des milliers d’autres logements dans les prochaines années », ajoute-t-il.
Marie-Aline Vadius
Le pouvoir de la diversité
CRÉDIT : NATHALIE ST-PIERRE
Lorsque Marie-Aline Vadius déménage à Montréal au début des années 2000, elle décide de s’inscrire au baccalauréat d’enseignement en formation professionnelle et technique offert par l’UQAM. Rapidement, son parcours s’oriente vers l’engagement social. « L’UQAM m’a dotée d’une base solide en éducation et en pédagogie, tout en me sensibilisant aux enjeux sociaux contemporains », explique celle qui a été la présidente du Conseil interculturel de Montréal. « Cette formation a renforcé ma conviction de l’importance de l’éducation comme outil d’intégration et d’égalité sociale, et a façonné ma vision de l’inclusion et de la diversité comme piliers essentiels d’une société équilibrée et dynamique. »
Mon implication dans le domaine de l’éducation vise à promouvoir une société où chaque individu, indépendamment de ses origines ou de ses particularités, peut se sentir respecté et intégré.
Marie-Aline Vadius
Marie-Aline Vadius porte de multiples chapeaux, tous en lien avec l’éducation et la promotion de la diversité sous toutes ses formes. « Que ce soit pour l’intégration des femmes, la sensibilisation à la diversité ou l’accompagnement des personnes en situation de handicap, chaque projet représente pour moi une occasion d’apprendre, de grandir et d’apporter une contribution significative à la société », explique-t-elle. À travers ces riches expériences, Marie-Aline fait partie des acteurs de changement d’ici qui aident à la construction d’un monde plus égalitaire.
Philippe Lamarre
Créer du contenu original depuis 20 ans
CRÉDIT : FÉLIX RENAUD
Il y a 20 ans, lorsqu’il a cofondé le magazine URBANIA, Philippe Lamarre ne s’attendait pas à bouleverser le paysage médiatique québécois. « Notre ambition de départ, c’était simplement de faire un projet en gang et de créer une pièce de contenu originale, qui témoigne de notre regard de vingtenaires du début des années 2000 sur la société », raconte Philippe. Depuis, URBANIA a continué d’évoluer en s’adaptant à tous les tournants pour refléter la pensée et les valeurs d’une génération.
Je crois qu’il est crucial que des médias servent à apporter des points de vue différents, et surtout, qu’ils incarnent le regard d’une nouvelle génération sur la société québécoise. Je souhaite que mes enfants aient des médias québécois francophones qui leur ressemblent.
Philippe Lamarre
Lorsqu’il était étudiant au baccalauréat, Philippe Lamarre a choisi l’UQAM non seulement pour la qualité de ses programmes en design graphique et en journalisme, mais également parce qu’il se reconnaissait dans les valeurs véhiculées par l'Université. « L'UQAM incarne un lieu où l’on peut s’exprimer, challenger les idées reçues, repenser le monde », dit-il. Aujourd’hui, la majorité des employés de la boîte sont des diplômés de l’UQAM, mais ce n’est ni un hasard ni une décision intentionnelle. « On ne fait pas de favoritisme et on prône la diversité dans les embauches, mais si on a tant de gens qui viennent de l’UQAM au sein de l’équipe, c’est vraiment parce que certains des meilleurs talents créatifs y obtiennent leur diplôme », affirme Philippe.