Des cas présumés d’ingérence chinoise dans la politique canadienne ont été révélés ces derniers mois, à la suite de fuites provenant de sources de sécurité. État des lieux.

Des tentatives permanentes d’influencer le vote au Canada

La Chine a tenté de cibler des élus pour promouvoir ses intérêts aux dernières élections, s’est inquiété le SCRS, confirme-t-on dans un rapport sur la campagne électorale de 2021. Or, ces tactiques ne sont pas employées seulement en période électorale, mais bien en permanence, prévient-on dans le document rendu public.

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Huit candidats conservateurs auraient été défaits en 2021

Le Parti conservateur soutient qu’au moins huit de ses candidats ont mordu la poussière aux élections fédérales de 2021 en raison de la Chine qui aurait utilisé une stratégie raffinée afin d’assurer la réélection d’un gouvernement libéral minoritaire dirigé par Justin Trudeau.

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Un élu se défend d’avoir demandé d’attendre avant de libérer les deux Michael

Éclaboussé par des allégations explosives selon lesquelles il aurait conseillé à un consul de Chine de retarder la libération de Michael Kovrig et Michael Spavor pour en faire bénéficier politiquement son parti, le député libéral Han Dong s’est retiré du caucus.

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La nomination du rapporteur spécial David Johnston divise à Ottawa

Les néo-démocrates ont louangé le choix du rapporteur spécial David Johnston nommé par le premier ministre Justin Trudeau pour examiner les allégations d’ingérence de la Chine dans les deux dernières élections fédérales au Canada, alors que les conservateurs et les bloquistes ont attaqué de plus belle sa crédibilité.

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La GRC enquête sur les fuites entourant l’ingérence étrangère

Le SCRS n’est pas la seule agence à se lancer dans une chasse aux sources sur l’ingérence étrangère dans les élections : la GRC enquête aussi à ce sujet.

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Les organismes visés au Québec offrent leur collaboration à la GRC

Les deux organismes soupçonnés par la Gendarmerie royale du Canada d’être des « postes de police chinois » clandestins à Montréal et à Brossard disent être étonnés de se voir ainsi ciblés. Ils assurent être prêts à collaborer avec les autorités canadiennes et maintiennent qu’ils condamnent tout comportement qui pourrait s’assimiler à du harcèlement et à de l’intimidation.

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Chroniques et éditoriaux

Ingérence chinoise : l’épidémie

Où s’arrêteront les tentatives d’ingérence de la part de la Chine ? En matière de sécurité nationale, c’est probablement la question la plus cruciale à poser ces jours-ci.

Lisez l’éditorial d’Alexandre Sirois

Rangez votre pelle, monsieur Trudeau

Mais l’ingérence alléguée de la Chine dans les élections fédérales de 2019 et 2021 est un enjeu bien trop fondamental pour que le gouvernement le repousse en espérant qu’il s’évapore.

C’est pourtant ce que le premier ministre a fait en nommant un « rapporteur spécial indépendant » afin de déterminer s’il faut mener une enquête publique, alors que cela ne fait pas l’ombre d’un doute, tout le monde s’entend là-dessus.

Lisez l’éditorial de Stéphanie Grammond

Le supplice de la goutte

Ce supplice, Justin Trudeau se l’inflige lui-même par sa gestion de l’ingérence chinoise dans les élections canadiennes.

Lisez la chronique de Paul Journet

Big Beijing vous regarde

Tout ça pour dire que les reportages-chocs sur l’ingérence chinoise secouant depuis des semaines le gouvernement Trudeau n’ont pas choqué Kayum Masimov, coordonnateur du Projet de défense des droits des Ouïghours.

Lisez la chronique d’Isabelle Hachey