Interpellées par l’appel sur l’internet d’une semaine de la « rage climatique », diverses associations étudiantes annoncent des perturbations au cours des prochains jours dans les cégeps et les universités du Québec, notamment à l’UQAM.

L’association facultaire étudiante de langues et communication annonce par exemple une grève mercredi et jeudi pour dénoncer entre autres le gouvernement canadien qui « ne cesse de financer des projets pétroliers et gaziers » et le gouvernement québécois qui « finance une transition écologique absolument insuffisante et pensée pour les riches ».

La direction de l’UQAM, par l’entremise de Jenny Desrochers, du service des communications, dit que « la cause de l’urgence climatique est légitime et celle de l’éducation l’est tout autant ».

« L’Université demeurera ouverte et poursuivra ses activités » malgré la grève dans certaines de ses associations.