Le chroniqueur Patrick Lagacé a traité ces derniers jours du temps écran chez les enfants. Retour sur ses chroniques.

L’écran comme récompense, en maternelle

Le besoin qu’ont les enfants de jouer dans le réel, face à face, est essentiel à leur développement. Ce temps de jeu est cannibalisé depuis quelques années par le temps d’écran, ce qui serait néfaste à leur développement cérébral et social. Est-il utile que l’école ajoute au temps passé devant les écrans ?

Le chroniqueur Patrick Lagacé

Lisez sa chronique du 28 avril

Écrans : là où Québec peut agir

PHOTO GEORGE FREY, BLOOMBERG

Je suis content de voir que l’idée de réfléchir – et d’agir – à propos de l’impact des écrans sur le cerveau des jeunes fait son chemin à Québec

Le chroniqueur Patrick Lagacé

Lisez sa chronique du 12 avril

Sur la place des écrans à l’école

PHOTO FRANÇOIS ROY, ARCHIVES LA PRESSE

Je pose la question : les iPad, les tableaux numériques, le tout-au-virtuel en milieu scolaire, le temps d’écran comme récompense au bon comportement en classe…

Était-ce une bonne idée ?

Est-ce une bonne idée ?

Le chroniqueur Patrick Lagacé

Lisez sa chronique du 1er avril 2024

Écrans : échos de profs

PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE

« J’étais le premier à ne pas vouloir interdire le cellulaire en classe, mais devant la puissance des réseaux sociaux […], nous ne faisons pas le poids et le cerveau éponge d’un enfant ou d’un adolescent ne fait certainement pas le poids », a confié un enseignant à notre chroniqueur.

Qu’est-ce qu’on perd, à grandir dans le virtuel ? C’est une des questions en filigrane de cette série de chroniques ponctuelles sur les écrans.

Le chroniqueur Patrick Lagacé

Lisez sa chronique du 30 mars 2024

Nos vies de fou

PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, ARCHIVES LA PRESSE

« Moi aussi, j’ai donné un écran à mon enfant, sans doute trop tôt », confie notre chroniqueur.

Moi aussi, j’ai donné un écran à mon enfant, sans doute trop tôt. D’abord l’accès à l’iPad. Pour plein de raisons. Parmi ces raisons : j’étais parfois dans le jus, parfois à boutte, le planter devant un écran était parfois une bouée…

Le chroniqueur Patrick Lagacé

Lisez sa chronique du 24 mars 2024

Une autre histoire d’enfants et d’écrans

PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, ARCHIVES LA PRESSE

Dans les 15 dernières années, les écrans et les réseaux sociaux se sont enracinés dans la vie des enfants occidentaux.

Ce qui inquiète des experts, c’est que le temps passé en ligne a mené à une réduction du temps passé dans le réel, face à face, qui a grandement diminué chez les jeunes. Or, depuis toujours, le réel donne aux petits humains des outils qui guident leur développement et leur bien-être.

Le chroniqueur Patrick Lagacé

Lisez sa chronique du 22 mars 2024

Nos enfants, le téléphone et le virtuel

PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE

Depuis 2010, des jeunes vivent des existences virtuelles pour lesquelles le cerveau humain n’a pas d’affinités du point de vue de l’évolution, dit Patrick Lagacé.

Je viens de lire un article dans The Atlantic1 qui fournit de formidables pistes de réflexion. Le thème : les enfants et les ados qui ne vont pas bien, justement. Le titre : « End the phone-based childhood now », qu’on pourrait traduire par : « Il est urgent d’éloigner les téléphones de l’enfance ».

Le chroniqueur Patrick Lagacé

Lisez sa chronique du 17 mars 2024

Dans la section Dialogue

Faut-il rationner l’utilisation des écrans ?

PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, ARCHIVES LA PRESSE

Anne Robert avoue avoir l’impression de ramer seule à contre-courant contre l’utilisation excessive des écrans par son adolescent.

Sachant que l’utilisation excessive des écrans a un effet majoritairement négatif sur nous, nous vous avons demandé si vous avez déjà tenté de limiter votre utilisation de ceux-ci ou celle de vos enfants. Voici quelques-unes de vos réponses.

Lisez le courrier des lecteurs du 2 avril 2024

Et si on limitait l’utilisation des écrans ?

PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

Il semble qu’on prenne enfin conscience des dégâts causés par le temps (trop long) passé devant les écrans, surtout chez les enfants.

On parle beaucoup de l’omniprésence des écrans dans nos vies ces jours-ci. Comme si on réalisait (enfin !) que la situation est devenue intenable, en particulier pour les enfants. C’est documenté, nos jeunes bougent moins, jouent moins à l’extérieur et passent plus de temps seuls devant un écran. Et si on rationnait leur utilisation ? Nos chroniqueurs en discutent.

Lisez l'article de Nathalie Collard et Alexandre Sirois du 28 mars 2024