La première version de la eS n'était rien de moins qu'une Camry pour mieux nantis. La génération actuelle est beaucoup plus distincte, compte tenu de tous les atouts qu'offre la division lexus. Si certains modèles de la gamme ont un caractère sportif, celui-ci est réservé aux gens qui recherchent le confort feutré de leur domicile.
il ne faut pas considérer la ES comme un modèle d'entrée de gamme, puisque ce titre est toujours détenu par la IS, plus agressive à plusieurs points de vue. Mais son prix compétitif lui permet de se positionner avantageusement dans un segment de plus en plus occupé.
Anonyme à souhait Même si la distinction entre la ES et sa cousine Camry est plus qu'évidente, ils partagent cependant une certaine discrétion au chapitre du style. La ES reprend ce nez tombant et la lunette arrière inclinée propres à tous les produits
lexus. C'est joli, mais peu distinctif pour des voitures haut de gamme. Certains préfèrent l'anonymat, tandis que d'autres préfèrent afficher leur réussite, un comportement bien humain. Pour cette raison, la ES va perdre quelques acheteurs potentiels. Mais il faut signaler la précision avec laquelle les travailleurs l'ont assemblée. La finition extérieure est impeccable, une qualité devenue une marque de commerce chez Lexus. Du côté de l'habitacle, la présentation est soignée et les matériaux utilisés sont dignes des plus belles berlines sur le marché. Les cuirs sont de qualité tandis que le tableau de bord offre un coup d'oeil agréable grâce à cette
nacelle incrustée dans un ensemble monté tout d'une pièce.
La route, queLLe route? Le groupe motopropulseur composé d'un V6 de 3,5 litres et d'une boîte à six rapports offre une douceur de roulement absolue. Combiné à une insonorisation hors du ommun, la sensation d'être sur la route est quasi inexistante.
La suspension absorbe presque entièrement les défauts de la route au grand bonheur des occupants. La ES est vraiment tout le contraire de la IS avec son comportement routier très ouateux et sa suspension plus près de la guimauve que de l'amortisseur conventionnel.
il ne faut pas considérer la ES comme un modèle d'entrée de gamme, puisque ce titre est toujours détenu par la IS, plus agressive à plusieurs points de vue. Mais son prix compétitif lui permet de se positionner avantageusement dans un segment de plus en plus occupé.
Anonyme à souhait Même si la distinction entre la ES et sa cousine Camry est plus qu'évidente, ils partagent cependant une certaine discrétion au chapitre du style. La ES reprend ce nez tombant et la lunette arrière inclinée propres à tous les produits
lexus. C'est joli, mais peu distinctif pour des voitures haut de gamme. Certains préfèrent l'anonymat, tandis que d'autres préfèrent afficher leur réussite, un comportement bien humain. Pour cette raison, la ES va perdre quelques acheteurs potentiels. Mais il faut signaler la précision avec laquelle les travailleurs l'ont assemblée. La finition extérieure est impeccable, une qualité devenue une marque de commerce chez Lexus. Du côté de l'habitacle, la présentation est soignée et les matériaux utilisés sont dignes des plus belles berlines sur le marché. Les cuirs sont de qualité tandis que le tableau de bord offre un coup d'oeil agréable grâce à cette nacelle incrustée dans un ensemble monté tout d'une pièce.
La route, queLLe route? Le groupe motopropulseur composé d'un V6 de 3,5 litres et d'une boîte à six rapports offre une douceur de roulement absolue. Combiné à une insonorisation hors du ommun, la sensation d'être sur la route est quasi inexistante.
La suspension absorbe presque entièrement les défauts de la route au grand bonheur des occupants. La ES est vraiment tout le contraire de la IS avec son comportement routier très ouateux et sa suspension plus près de la guimauve que de l'amortisseur conventionnel.