L’actualité bouge vite. Retour sur des évènements marquants de la semaine, histoire de vous faire une tête à temps pour vos soupers du week-end.

Dune 101

PHOTO FOURNIE PAR WARNER BROS.

Timothée Chalamet dans Dune

L’un des films les plus attendus de l’année sort sur grand écran vendredi : Dune : Part Two, le film de science-fiction hollywoodien du réalisateur québécois Denis Villeneuve. Il s’agit de la deuxième partie de l’adaptation du roman de science-fiction de Frank Herbert, considéré comme l’un des chefs-d’œuvre de ce genre littéraire. Le film mettant en vedette Timothée Chalamet (dans le rôle du jeune héritier Paul Atréides), Zendaya et Javier Bardem traite de religion, de politique, d’environnement et de psychologie. L’histoire et l’univers de Dune sont infiniment complexes. Notre chroniqueuse Chantal Guy vous offre donc le cours Dune pour les nuls.

Lisez la chronique « Dune pour les nuls »

Crise du logement : des conséquences troublantes

PHOTO OLIVIER JEAN, LA PRESSE

Une famille vit depuis près d’un mois sous l’autoroute Métropolitaine, à Montréal.

Des fraudeurs sans scrupules ont trouvé une façon d’exploiter la crise du logement : ils publient en ligne de fausses annonces de logements à louer avec un loyer alléchant, en exigeant le paiement d’un mois de loyer… pour simplement visiter l’appartement. Or, il n’y a pas de logement à louer, c’est plutôt une fraude, a constaté notre collègue Charles-Éric Blais-Poulin. Par ailleurs, la crise du logement touche des milliers et des milliers de Québécois. Comme cette famille de six personnes, dont une jeune femme de 18 ans enceinte de sept mois, résignée à vivre dans des tentes sous l’autoroute Métropolitaine à Montréal depuis près d’un mois après avoir perdu son logement. Notre collègue Gabrielle Duchaine raconte cette histoire déchirante.

Lisez l’enquête « Faux logis à bon prix » Lisez l’article « Une famille sous l’autoroute »

Alimentation : un avertissement changera-t-il nos habitudes ?

IMAGE FOURNIE PAR SANTÉ CANADA

Photomontage fait par Santé Canada pour illustrer l’emplacement de son nouveau symbole nutritionnel.

Dans deux ans, tous les aliments avec une teneur élevée en gras saturés, en sucres et en sodium devront afficher un avertissement sur leur emballage. Est-ce que ça aidera les Canadiens à faire de meilleurs choix et à manger plus sainement ? Oui, pensent plusieurs experts. Sauf que le système d’étiquetage alimentaire en Europe, où l’on cote les aliments de A à E en tenant compte de toutes leurs caractéristiques, est plus simple et meilleur, en fin de compte, font valoir d’autres experts. Notre collègue Marie-Claude Malbœuf se penche sur la question.

Lisez « L’avertissement sur les aliments transformés changera-t-il nos habitudes ? »

Une révolution un pas à la fois

PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE

La marche est bénéfique à la fois pour le corps et le cerveau.

Que pourrait-on faire pour être plus en santé collectivement ? Marcher davantage. « La marche, et surtout la marche soutenue, peut améliorer la santé cardiorespiratoire, mais aussi la mémoire, le raisonnement, la solution de problèmes, l’attention », a dit Arthur Kramer, directeur du Centre pour la santé cognitive et du cerveau de la Northeastern University, à notre collègue Gabriel Béland. Or, le gouvernement du Québec démontre peu d’ambition pour favoriser la marche. C’est donc les villes qui doivent développer des milieux de vie pour favoriser la marche. Dans ce dossier, des experts vous donnent aussi des conseils pour favoriser la marche dans votre vie quotidienne.

Lisez le dossier « Pour une révolution par la marche »

Pour un changement de culture en politique

PHOTO PATRICK SANFAÇON, ARCHIVES LA PRESSE

Pour Catherine Fournier, mairesse de Longueuil, « il n’est pas normal de constater les climats toxiques d’intimidation qui peuvent régner dans les hôtels de ville… et dans nos parlements ».

Il y a une semaine, la mairesse de Gatineau, France Bélisle, a quitté ses fonctions. Depuis les dernières élections à l’automne 2021, près de 10 % des élus municipaux ont fait de même. Dans une lettre à La Presse, la mairesse de Longueuil Catherine Fournier réfléchit sur les façons de renverser cette tendance inquiétante. « Je suis d’accord avec France lorsqu’elle affirme que l’environnement dans lequel s’exerce la politique doit changer. Au premier chef, c’est nous-mêmes, les élus, qui devrions incarner ces changements. Avant de regarder ailleurs, il convient de donner l’exemple. Il n’est pas normal de constater les climats toxiques d’intimidation qui peuvent régner dans les hôtels de ville… et dans nos parlements », écrit la mairesse Fournier.

Lisez la lettre de Catherine Fournier